Frilustliv, un concept typiquement norvégien qui veut dire la vie au grand air. Nous allons pouvoir le tester en vrai durant ce nouveau périple dans ce grand pays qu'est la Norvège. L'objectif serait (soyons prudents) d'atteindre le fameux cap nord, la terre la plus au nord du continent européen, en deux mois de vélo. Objectif raisonnable en principe, mais ne sous-estimons pas le climat rugueux du pays, ou il n'est pas rare de voir de la neige en juillet.
Une fois n'est pas coutume, ce sera un récit à deux voix, puisque mon compère Thierry souhaite également partager ses impressions. Une tribune libre (je prends quelques risques, m'enfin....) sur un post spécifique.
Veille du départ, la voiture est prête. |
Les bonshommes aussi. |
Remontage un peu fastidieux en sortie de l'aéroport d'Oslo |
Première croyance sur le climat confirmées en arrivant sur le tarmac de l'aéroport d'Oslo sous la pluie et un petit 17°.
Deuxième croyance sur le coût de la vie aussi : 12€ pour un malheureux sandwich et une barre énergétique. Et tant qu'on y est, enfonçons le clou, la troisième sur la rigueur norvégienne aussi. Je m'étais égaré dans la réserve de notre premier kiwi (sorte de lidl local). L'employé m'a engueulé en terminant par : "c'est bon pour cette fois, mais... Ne recommencez pas !". OK ok, va falloir être carré.
On peut se baigner.... Non, on pourrait se baigner... mais sans façon. |
Morskogen |
On a aimé Morskogen |
Au deuxième jour, nous suivons le pilgrimsvegen, chemin de pèlerinage entre Oslo et Trondheim qui serpente dans les collines parsemées de fermes rouges et blanches. Les voitures se font plus rares et, ce n'est pas une légende, un norvégiens est capable de rester plusieurs minutes derrière un vélo sans dépasser (sans même sans claxonner !)
Après Brumunddal, nous attaquons les pistes pour voir les plateaux en espérant apercevoir élans et bœufs musqués.
Bon, en fait d'élan, on a surtout vu des moutons, très affectueux. Le " soir" d'ailleurs on a compris l'expression compter les moutons avant de s'endormir (Ils nous ont bouffés les orteils)
Les moutons de Norvège ne dorment apparemment pas. Mais il faut dire qu'il ne fait jamais nuit en cette saison.
Bon, parfois un peu trop collants |
Et au deuxième jour d'ascension nous débouchons sur un magnifique plateau.
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